Jadis, il était inenvisageable qu’un être féminin accède aux arcanes de la mathématique. Au XIXe siècle, Ada Lovelace, la programmeuse qui réalisa la première ligne de code de l’histoire pour la machine de Babbage, fut en ce sens une exception. Au XIIIe siècle, Émilie aussi. Émilie du Châtelet, physicienne et traductrice de Newton.(1)