
Jusqu'au début de ce siècle, les logiciels libres n'étaient connus que d'un petit cercle d'experts des réseaux ou de passionnés d'informatique, seuls à pouvoir jouir de leur qualité, leur adaptabilité et leur faible coût. L'April, grâce à son enthousiame et son professionnalisme, a permis d'élargir ce cercle en travaillant sans relâche à convaincre les entreprises et les responsables politiques que parier exclusivement sur le propriétarisme était contre-productif. Les citoyens qui bénéficient aujourd'hui de services informatiques plus fiables, plus ouverts et moins chers doivent à l'April une fière chandelle.